TÉMOIGNAGE SUR LA PUISSANCE DU PHONÈME VIBRATOIRE NAM MÔ A DI DÀ PHÂT

 

Il y a de cela plusieurs années auparavant lorsque j’étais à Montréal pour mon travail, il nous arrivait une histoire assez inusitée. Il était environ 21 h moins 10 et nous allons prendre le métro à partir de Mc Gill pour se rendre à Berri et ensuite prendre l’autobus Voyageur pour retourner chez nous.

Avant d’entrer dans le métro, nous ressentons une drôle de sensation intérieure, une espèce de peur ou d’angoisse incompréhensible…Le métro était bondé de monde car c’était un vendredi soir et nous sommes assis ensemble moi et mon épouse attendant d’arriver rapidement à Berri puisqu’il n’y avait que 2 stations càd Place des Arts, St-Laurent avant. Cependant en cours de route, l’éclairage du métro baissait de moitié et le métro roulait à une vitesse très lente par rapport à sa vitesse de croisière. On nous disait qu’il y avait un problème d’électricité, l’air ne sortait pas des bouches d’aération du plafond.

Il faisait très chaud car c’était l’été et plus le temps passait , plus nous sentions mal à l’aise intérieurement et nous ne disions mot. Le métro prenait environ 15 à 20 minutes entre chaque station. Il roulait lentement et l’éclairage faisait défaut. Si quelqu’un souffrait de claustrophobie , il se croyait enfermé dans un cercueil de fer où il faisait chaud et étouffant. Cependant à chaque station , les portes du métro restaient fermées. Personne ne montait ni descendait. Nous pensions que c’était à cause du manque d’électricité.

Comme nous nous sentions mal et nous ne savions pas de quoi il s’agissait , moi je me mis à réciter inlassablement le phonème vibratoire Nam Mô A Di Dà Phât pour calmer mes appréhensions qui augmentaient sans cesse. Bien Aimée se sentait mal de son côté et défaillait tant elle se sentait comme enfermée. Elle se mettait alors à prier silencieusement. Nous étions assis ensemble dans la dernière section du wagon et il y avait beaucoup de personnes assises en arrière de nous. Tout au long de ce parcours Bien Aimée sentait obscurément une ou des présences menaçantes en arrière de nos bancs. Mais elle ne soufflait mot.

C’était long et pénible et nous pensions que le problème allait se régler rapidement lorsque le métro arriverait à Berri

Enfin après 45 minutes le métro arrivait à Berri, mais les portes du métro sont fermées. On nous faisait passer à la queue leu d’un wagon à l’autre car nous étions dans le dernier wagon pour sortir par le wagon de tête. C’était bizarre lorsque nous sortions du métro, il n’y avait pas de passagers sur le quai et nous marchons d’un pas normal. Un policier caché plus loin nous disait de nous presser. Alors en passant par l’allée qui menait vers la sortie, nous voyons alors plusieurs policiers de la CUM cachés derrière le mur leurs revolvers pointés vers tous les passagers qui sortaient du métro prêts à tirer. Nous étions en plein dans la ligne de tir des policiers qui nous criaient : ‘Ôtez-vous de là !`’

C’était là que nous réalisions que nous étions en danger, alors BienAimée avait les jambes qui tremblotaient . Elle était paralysée et elle n’arrivait pas à courir. Je lui tenais les bras pour l’aider à courir. Enfin , nous sommes sortis sains et saufs. Nous avions appris après qu’il y avait des bandits armés dans le métro. Les policiers avaient fait descendre un à un les passagers de chaque wagon avant entre chaque station pour coincer les bandits et nous étions dans le dernier wagon et les derniers à descendre à Berri.

Je continuais à réconforter Bien Aimée qui avait peur après en réalisant que nous pourrions effectivement être pris entre les feux croisés des bandits et des policiers. Les bandits étaient dans notre dernier wagon et ils ont descendus quelques minutes auparavant vu que le métro circulait très lentement et arrêtait de temps en temps. Bien Aimée s’était rappelée qu’elle avait entendu la porte arrière du métro se refermer, probablement que les bandits ont senti le danger et préféré prendre la poudre d’escampette…C’était alors cette présence menaçante que Bien Aimée sentait tout le long de ce parcours.

Leçon de vie: En se rappelant cette histoire maintenant, nous nous demandions alors qu’aurait-il pu arriver si nous n’avions pas prié ni réciter le phonème NMADAP malgré notre peur et appréhension ? Sûrement le sort aurait tourné autrement car les bandits sentant le danger et la menace des policiers auraient probablement pris en otage les passagers du métro càd nous et les autres. .. Cela aurait pu finir tragiquement, cela nous ne le saurions jamais…

Je me rappelais alors l’enseignement de Maitre Tam qui nous rappelait sans cesse de réciter le phonème alors que sa vie était en danger étant menacé bien des fois par les forces humaines visibles et les forces invisibles. C’est grâce au phonème vibratoire NMADAP que M. Tam s’en est tiré sans être blessé physiquement ou psychiquement. C’est pourquoi dans les cas de force majeure où notre vie est en danger et où ne savions quoi faire , réciter le phonème vibratoire peut nous tirer d’embarras ou nous sauver la vie dans un tic tac de seconde. Seuls ceux et celles qui pratiquent cette récitation apprécient à sa juste valeur l’enseignement initiatique de M. Tam.Cela doit être récitée tous les jours La prière aussi récitée par un cœur sincère et adressée au Ciel a aussi un effet protecteur efficace.

Dans ce temps là , Bien Aimée ne récitait pas encore le phonème vibratoire car elle n’y croyait pas tellement. Elle souhaitait intérieurement avoir un signe, une preuve que le phonème est correct et donne des résultats. Un jour alors que nous étions en vacances dans la province de l' Ouest entrain de dormir chez ma sœur, M. Tam était venu en esprit enseigner à Bien-Aimée la récitation du phonème à 2 H du matin! Et toute la journée elle entendait chanter dans sa tête : ‘ Nam Mô A Di Da Phât’. Elle éprouvait alors une paix et un bien- être extraordinaire. Pour les personnes néophytes, c’était difficile à croire; mais pour ceux et celle qui pratiquent régulièrement la méditation, c’était tout simplement naturel.

Plus tard, Bien Aimée avait pu constater la force de récitation du phonème pour maîtriser un alcoolique violent prêt à se battre en une personne devenue douce qui pleurait comme un enfant. Beaucoup de pratiquants ont pu constater l’efficacité de cette méthode par des vécus semblables. Ce n’est pas quelque chose de magique, c’est tout simplement une science d’énergie merveilleuse qui met en œuvre les rayons d’énergie célestes en relation avec les bouddhas. Elle a le pouvoir de neutraliser les situations de danger, de peur, de conflit …en les transformant en situations de paix.

Plus tard Maître Tam nous enseigné au LB comment guérir par l’énergie en utilisant le phonème vibratoire NMADDP. C’était quelque chose qui répondait à l’appel de notre cœur. Dieu avait entendu notre appel et envoyé M. Tam nous enseigner cela. Notre cœur était pleine de gratitude pour Dieu et pour son envoyé M. Tam.

Aujourd’hui encore, notre cœur éperdu par tant de bonté et d’ Amour récitait alors : ‘ L’ Amour est le chemin que nous marchons tous ensemble dans la Gratitude, car là où va l’ Amour , là va la Gratitude ! Et là où va la Gratitude , là se trouve notre vrai Coeur !

Avec Joie et Gratitude,

VOIR DANS LE PROCHAIN ARTICLE COMMENT PRATIQUER LE PHONÈME VIBRATOIRE NAM MÔ A DI DA PHÂT

Comments

[durant]

Tous vos articles sont très prenants et j'ai hâte de lire le prochain sur le phénomène vibratoire , encore merci et bonne continuation sur le chemin de l'amour!